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VLAD DAVUL VON KROLOCK DA NOZFERATU

 

 

 

 

 

 

BOLDAVIE VLAD DAVUL CONFINE - Copie (2)

 

BOLDAVIE VLAD DAVUL CONFINE - Copie

 

BOLDAVIE VLAD DAVUL CONFINE

 

Boldavie : Aucune victime du coronavirus sur les terre de VLAD DAVUL VON KROLOCK DA NOZFERATU ! Pourquoi ? Ben , tout le monde est déjà mort en 1477 à la bataille de TETRAZEPAM !

 

 

 

 

 

 





 

 

 

 



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J'ai besoin qu'on m'aime Mais personne ne comprend Ce que j'espère et que j'attends Qui pourrait me dire qui je suis ? Et j'ai bien peur Toute ma vie d'être incompris Car aujourd'hui : je me sens... Mal aimé Je suis le mal aimé Les gens me connaissent Tel que je veux me montrer Mais ont-ils cherché à savoir D'où me viennent mes joies ? Et pourquoi ce désespoir Caché au fond de moi ? Si les apparences Sont quelquefois contre moi Je ne suis pas ce que l'on croit Contre l'aventure de chaque jour J'échangerais demain la joie d'un seul amour Mais je suis là comme avant

 

 

 

 « Manger de l'ail. Ca rajeunit l'organisme et ça éloigne les importuns. »




ENGY OUANNE TRAINE AU LIT
est né en BOLDAVIE le 19 août 1469
Simple berger qui garde les moutons dans la lande en jouant de la cornemuse Boldave ...
L' invasion de la Boldavie par les peuples nomades HUNS ET ZOTRS menés par RAZBOULAT KHAN et son allié le Roi OZRIC  , en 1477 va instaurer une période de chaos dans la plaine Boldave  . Le Roi BOLDAV premier repoussera non sans peine les nomades dans la steppe sans fin et dans les forêts de l' est sauvage , mais un autre péril , local cette fois , terrorisera la campagne : le comte VLAD DAVUL , un vampire
que combattra ENGY OUANNE , en lui jetant de l' ail ! Il fondera ainsi la première confrérie des JETS D' AIL , composée à la base de paysans Boldaves producteurs d' ail et d' oignons , du ROI BOLDAV Ier  , du rebelle montagnard DAVUL DOUDAIEV ainsi que d' aventuriers comme MJOLNIR POLTERGEIST , chasseur de DRAGON connu plus tard sous le nom glorieux de MARTEAU FANTOME et ses amis SMARTIS et BONITOS ....

Ne lor lessasse demorer Vaillant ung ail, se ge peüsse, Que tout en ma borce n'eüsse

  Li ails vaut contre morsure de beste venimeuse

« Manger de l'ail. Ca rajeunit l'organisme et ça éloigne les importuns.  »

 

 

 

 

 

 

 

 







 

 

 

1477 INDEPENDANCE BOLDAVE...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

HISTOIRE DE LA BOLDAVIE ...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 




 

 

 

 

 

Voilà ma géographie mentale de la Boldavie :

La Boldavie est en plaine , peuplée majoritairement de paysans slaves sedentaires fidèles au roi Boldav

A l' est en revanche , il y a la forêt qui borde le Zotreland un royaume à part ou vivent des peuples germaniques industrieux et bellicistes ( fabriques de bière et armes réputées ) qui rêvent toujours d' envahir la Boldavie rurale .....

Et il y a le Davulistan sauvage , la montagne ou vivent des bergers nomades et des montagnards rebelles , les Davuls du Davulistan ! ILS SONT PAIENS et conservent des traditions antérieures aux invasions ....Ce peuple antérieur aux Boldaves est encore insoumis car isolé dans la montagne .


Plus loin il y a le desert ou vivent des nomades avec des chêvres : ils prient un dieu unique autoritaire et brûlent tous les livres sauf le leur ! On ne peut les critiquer sans etre mis à mort car ils s' offensent vite ! Détenteurs de la vérité absolue ils attendent l' heure ou ils pourront imposer définitivement l' Ordre Nouveau Théocratique !

 

 




 







 

 

 

ARMEE BOLDAVE EN CAMPAGNE...

 

 

 

 

 

 

En Boldavie , il n' y a pas souvent la guerre , c' est pourquoi la coiffe des soldats Boldaves ressemble tellement à un bonnet de nuit 

 






 

BOLDAV LE LIBERATEUR

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Ne te moque pas de ma demeure
La poutre en est inclinée et la chambre petite
Mais la lune qui brille sur la montagne est à moi"

 

DAVUL DOUDAIEV

 

 

 

 



 

 

 

 



 



 




 

 

 

 

 

Un succube (le nom est masculin) est un démon judéo-chrétien féminin qui séduit les hommes et abuse d'eux durant leur sommeil et leurs rêves. Les succubes servent Lilith. Leur pendant masculin est l'incube.

Des légendes racontent que le succube prendrait l'apparence d'une femme défunte, faisant croire à sa résurrection pour abuser d'eux. Une autre dit que les succubes punissent les hommes pour leur traîtrise en les séduisant puis en les abandonnant.

Le succube est de nature ambivalente, puisqu'il est à la fois redouté et désiré. « Ce qui fait l'horreur, c'est le désir, et le désir devient monstre. »

Étymologie
Le terme succube vient du mot latin succuba qui signifie « concubine ». Il ne désigne le démon femelle qu'à partir du XVIe siècle, par rapprochement avec le terme « incube ».

Une autre étymologie le fait dériver du latin classique sub, « sous », et cubare, « coucher » : « qui couche sous » ou « être couché sous ». C'est un mot masculin, parfois employé au féminin.

Une figure universelle
Sculpture de succube sur un encorbellement en bois d'une auberge anglaise, suggérant que le lieu a peut-être servi de lupanar.

La Succube, sculpture d'Auguste Rodin (musée Soumaya, Mexico).
En Hongrie, « les sorcières de Szeged chevauchent ceux qu'elles aiment ou qu'elles détestent : elles s'assoient sur leur poitrine jusqu'à ce qu'ils ne puissent presque plus respirer, puis elles les transforment en chevaux volants ».

Dans la mythologie antillaise, le succube porte le nom de dorlisse, dorlis ou encore dorliis. Aussi appelé « l'homme au bâton », il serait plutôt un incube.

Dans la littérature arabe ancienne, le succube est connu comme « un démon femelle qui dérange les hommes pendant leur sommeil et les accompagne dans leur lit ». Au Maghreb, on les appelle al Djinns al 'achiq, ce qui signifie « le djinn ou le démon amoureux qui habite le corps d'une personne », ils sont mariés dans le monde des rêves avec la personne possédée. Dans les Aurès, les ajenni s'attaquent aux femmes et la tajennit aux hommes : chaque succube et incube étant attaché à une seule personne, l'ethnologue Germaine Tillion parle de « conjoint invisible ».

En Côte d'Ivoire, il existe une croyance en des femmes de nuit ou maris de nuit, esprits qui prendraient l'apparence de l'être aimé ou désiré pour s'accoupler avec une personne pendant son sommeil. Cela peut aller jusqu'à empêcher la victime d'éprouver le moindre intérêt pour des personnes de chair et d'os. La croyance peut notamment être employée dans un couple pour justifier la perte d'intérêt d'un des conjoints pour l'autre.

Les principaux attributs du succube sont la séduction, le vol et la chevauchée nocturne, son rapport à la mort et à la dévoration (de la chair notamment). Ces thèmes, considérés comme néfastes et démoniaques en règle générale, n'en sont pas moins des formes à caractères initiatiques dans les sociétés traditionnelles.

Ainsi la croyance entourant ce démon semble avoir une racine commune avec des démons ou créatures comme les harpies, les sirènes, la Lilith tu mésopotamienne, la goule mésopotamienne et arabe, les lamies, les stryges.

Le vampirisme, dans sa version féminine, présente à certains égards une thématique commune à celle du succube, notamment ceux de la séduction, de la dévoration et de la mort.

Les créatures féminines au caractère bénéfique, comme les dryades et les nymphes peuvent également être rattachées au succube, du fait de l'ambivalence de sa nature, et, comme il sera vu plus bas, du fait de leurs parentés à certaines traditions chamaniques.

Des créatures divines partageant ce statut de « femme fatale », à la fois séduisante, protectrice et dangereuse, se retrouvent dans la mythologie égyptienne, avec la troublante déesse-chatte Bastet. En effet, on retrouve dans les deux l'allégorie de la féminité et de la séduction, mais également de la cruauté.

Sur les traces de la Grande Déesse :
La croyance qu'il existe des unions entre des déesses ou des divinités et des hommes n'est pas nouvelle. Pour n'en citer que quelques-unes :

Dans la mythologie gréco-romaine : Déméter et Iasos, Harmonie et Cadmos, Callirrhoé et Chrysaor, Éos et Tithon, Médée et Jason, Psamathée et Éaque, Aphrodite et Anchise, Circé et Ulysse, Calypso et Ulysse.

Dans l'ouvrage le Monde enchanté de Balthazar Bekker en 1694 où « pendant 130 ans qu'Adam s'abstint du commerce de sa femme, il vint des diablesses vers lui, qui en devinrent grosses, qui accouchèrent de diables, d'esprits, de spectres nocturnes, de fantômes ».

Dans les traditions chamaniques, où il est souvent question d'une alliance surnaturelle et de rapports sexuels entre la fille de l'esprit de la forêt et le chaman. Mais aussi Mélusine, dans l'Islam le mariage des Djinns, en Scandinavie celui des Troldes, en pays celtes celui des fées. L'union sexuelle avec un succube a ceci de spécifique qu'elle est nocturne, pendant la période des rêves (ceci découle très probablement du fait que les hommes ont régulièrement des érections durant les périodes de sommeil paradoxal).

L'áyami et la fille de l'esprit de la forêt
Mircea Eliade, dans son ouvrage Le Chamanisme, cite le témoignage d'un chaman Gold, qui parle de son áyami, c’est-à-dire de son esprit protecteur :

« Un jour je dormais sur mon lit de souffrances lorsqu'un esprit s'approcha de moi. C'était une femme fort belle (…) Elle me dit « Je suis l'áyami de tes ancêtres, les chamans. Je leur ai appris à chamaniser ; maintenant, je te l'apprendrai à toi (…) Je t'aime. Tu seras mon mari et je serai ta femme. Je te donnerai des esprits qui t'aideront dans l'art de guérir. » (…) Consterné, je voulus lui résister. « Si tu ne veux pas m'obéir, tant pis pour toi. Je te tuerai. » (…) Je couche avec elle comme avec ma propre femme (…) Elle se présente parfois sous l'aspect d'une vieille femme ou d'un loup, aussi ne peut-on la regarder sans frayeur. D'autres fois empruntant la forme d'un tigre ailé, elle m'emporte pour me faire voir diverses régions (…) À l'époque où elle m'instruisait, elle venait toutes les nuits (…) »

Il cite également Sliepzova, concernant les Iakoutes de Sibérie :
« Les Maîtres et les Maîtresses des Abassy du monde supérieur ou inférieur apparaissent dans les rêves du chaman, mais ils n'entrent pas personnellement en relations sexuelles avec lui : c'est réservé à leurs fils et à leurs filles. »

Roberte Hamayon, dans La chasse à l'âme : esquisse d'une théorie du chamanisme sibérien (1990)9, dit à peu près la même chose concernant « la fille de l'esprit de la forêt ». Dans le chamanisme des Bouriates de Sibérie, l'esprit de la forêt est représenté par le Grand Cerf. C'est lui qui donne la chance à la chasse, c’est-à-dire que c'est lui qui pourvoit les chasseurs en gibiers. La forêt est en effet Bajan Xangaj, « Riche-Rassasieur » ; elle est généreuse mais aussi impitoyable, témoin de son ambivalence. Or les Chamans ou les chasseurs n'ont qu'exceptionnellement affaire à lui. La plupart du temps ils sont engagés avec sa ou ses filles. Celle-ci est une coureuse de chasseurs. Elle leur apparaît la nuit en rêve ou à la chasse en imagination.

« Elle est toujours très belle et le plus souvent nue, séductrice et exigeante (…) attendant de lui, en échange du gibier, les plaisirs humains : ceux de l'amour, des contes et des chants. »

Pour le chaman, il existe une véritable union maritale avec elle, un mariage surnaturel, conjointement à son union terrestre. Elle peut apporter le gibier pour le chasseur et l'enseignement pour le chaman. Mais elle apporte aussi la folie et la mort pour le chasseur qui se laisse trop envahir par elle, et la mort pour le chaman s'il refuse de s'unir à elle.

Bien que les relations sexuelles avec l'esprit féminin de la sur-nature pendant les rêves soient une constante dans le chamanisme sibérien, l'élément important est celui de l'initiation du chaman par celle-ci. C'est elle qui, esprit protecteur principal, choisissant le chaman, donnera à celui-ci les esprits auxiliaires qui lui obéiront et l'assisteront.

Lilith. Jean Markale, dans Mélusine décrit Lilith comme un succube de la plus belle espèce. C'est une vierge inassouvie, une dévoreuse (d'enfants, de sperme). Elle engloutit, rôde la nuit. Cependant, le qualificatif de succube est rejeté par certains, car elle refuse d’être en position d’infériorité, et vole le sperme qui tombe à terre (les succubes ne recueillent pas le sperme issu de la masturbation).

Béatrice de Dante :
Bien que la notion de sexualité ne soit pas évidente, il existe manifestement, dans la Vita Nuova de Dante, une relation de type succubique, entre Dante et Béatrice. C'est pendant son sommeil que Dante a la vision d'un être effrayant qui lui signifie qu'il est son seigneur, et dans les bras duquel, « il me semblait voir une personne dormir, nue (…) dans un drap de soie vermeil comme sang ». Il s'agit de Béatrice, à qui le seigneur offre à manger le cœur de Dante .

Les fées :
Dante et Béatrice, XIVe siècle.
Les fées ne sont pas étrangères à cette conception du succube. Suivant la définition de Thesaurus[évasif], la fée est un « personnage féminin imaginaire, doté de pouvoirs magiques, et censé influer sur le monde des vivants ».

Contrairement à la croyance qui veut que la fée soit bonne par nature, la fée incarne en fait, comme son homologue chamanique, une nature ambivalente, qui la fait sorcière dans son versant maléfique (dans le sens « Qui apporte la maladie ou la mort »). Il existe bien une Fée Carabosse, ainsi qu'une fée Morgane. Son ambivalence est bien attestée au travers de la Befana.


Julius Evola, dans Métaphysique du sexe (1959), son chapitre sur les succubes cite la femme surnaturelle des légendes et des mythes héroïques, la femme dispensatrice de vie, de la science, d'une force sacrée, de l'immortalité parfois. Elle est représentée parfois par l'Arbre de vie. Pour Evola :

« Selon la doctrine hindoue de la royauté, le chrisme du pouvoir serait donné à chaque souverain par son mariage avec la Déesse Shri Lakshmî, son épouse en plus de ses femmes humaines, qui assume les traits d'une force surnaturelle animatrice de fortune royale (…) si bien que le roi perdrait le trône s'il était abandonné par elle. »

Et il cite également des exemples analogues dans le cadre du cycle méditerrannéo-oriental, mais aussi concernant le Zohar III,51 a,50 b (« Tous les pouvoirs du Roi sont confiés à la Matrone »). Ceci n'est pas étranger au concept de la prostitution sacrée pour laquelle Evola arbore le fait que les modernes n'ont pas trouvé d'autres mots que « se prostituer ».

Dans l'amour chevaleresque médiéval, Evola pense que « La Dame » est plus une femme de « l'esprit » qu'une femme réelle. Le chevalier s'y consacrait et la servait jusqu'à sa mort. Parfois sa cruauté était acceptée voire exaltée. Cette femme inaccessible est la Béatrice de Dante, celle que les textes hermétiques appelaient « notre Ève occulte », ou celle qui entrainait la mors osculi du kabbalisme médiéval15. Cette « destruction » par l'amour est à rapprocher de la dévoration du corps du chamane par les esprits auxiliaires au cours de la maladie-initiation de celui-ci.

Psychanalyse :
Pour Ernest Jones, l'incube et le succube se manifestent dans les cauchemars et traduisent l'effroi devant des désirs sexuels refoulés, notamment des désirs incestueux. La croyance aux incubes et aux succubes serait une forme de sauvegarde de la conscience, permettant notamment de transférer sur autrui, à savoir un démon, l'origine des désirs sexuels. Ainsi la culpabilité générée par les conflits inconscients serait épargnée au sujet, de même que la peur excessive liée aux jugements.

Georges Devereux :
Pour Georges Devereux, en parlant plus particulièrement des rapports entre déesses et humains18, les amours surnaturels sont liés à des fantasmes d'inceste mère-fils, forme plus rare mais bien plus forte que celui entre père et fille. La déesse est substituée à la mère ce qui rend le fantasme plus tolérable et en permet une meilleure élaboration.

Le drame des amours surnaturels vient du drame de la dégénérescence des Dieux par le biais de ces unions, façon de dire le franchissement des frontières généalogiques liés à l'inceste.

Pour le mortel, les malheurs proviennent de la crainte d'être foudroyé par Zeus (peur de la castration par le père), mais aussi de la crainte de l'impuissance liée au coït avec la déesse. Le mortel n'est pas au bout de ses peines, qu'il soit infidèle à la déesse, ou qu'il refuse ses avances, son sort n'est guère enviable : « les amants (…) mortels s'en trouvent physiquement amoindris, d'une façon qui rappelle la castration » : impotence, sénilité, paralysie, claudication, cécité, etc.

L'amant mortel est en plein complexe d'Œdipe. Pour Devereux, il est plus couramment admis et moins dangereux pour une femme de réaliser ses désirs œdipiens en se liant à un homme plus âgé qu'elle : son épanouissement sexuel n'en est pas en danger pour autant.

Concernant la grande beauté des déesses, avec laquelle aucune femme mortelle ne peut rivaliser, elle génère ainos, la terreur, la mort. C’est-à-dire que cette beauté a un caractère intolérable. D'un point de vue psychanalytique, Devereux lie cette notion à celle de l'imago infantile de la mère[

Michel Collée :
Pour Michel Collée, psychanalyste français, le succube (et l'incube) sont des figures qui posent la question des rapports sexuels avec les endormi(e)s, « de l'abolition de la volonté, de l'irresponsabilité, et de la conscience du sujet »1. Elles sont des fantasmes et des projections.

Qarinah : 
C'est un terme arabe (masculin : al quarin) attribué à un démon qui accompagne l'être humain durant toute sa vie pour lui insuffler du mal et ne le quittant jamais, les sorciers ayant vendu leur âme à leur quarin(ah) lui parlent pour connaître les secrets de la personne en face et lui faire démonstration de pouvoirs. En effet, ce démon pourrait harceler sexuellement son compagnon souvent en rêve mais aussi parfois éveillé selon les Maghrebins, s'il lui ouvre la voie (chanter aux toilettes, fantasmer sur un miroir, dormir nu, etc.).

Des monstres nommés « Succubus » font une apparition fréquente dans les épisodes modernes de la série Castlevania, avec notamment une confrontation entre Alucard et un succube envoyé contre lui par son père Dracula dans l'épisode Castlevania - Symphony Of The Night, ou encore un combat de boss entre un succube et Simon Belmont dans Castlevania: Lords of Shadow - Mirror of Fate.

On peut également voir un monstre appelé Succubus qui a la forme d'une boule de feu dans les différents Final Fantasy. Ces succubes seraient leur représentation démoniaque.


Stryges et Goules, ces vampires femelles protéiformes :
LES VAMPIRES, DES CRÉATURES À (RE)DÉCOUVRIR0CORALIE PHILIBERT
Stryge, goule, succube, oupire… le vampire au féminin conjugue beauté et pouvoir, force et séduction, sans oublier une bonne dose d'horreur et de luxure. Redécouvrons ces figures aussi méconnues que fascinantes. La goule : estampe / gypsographie, Pierre Roche (1855-1922). Graveur

Paulette Wilgowicz, dans la Revue française de psychanalyse de mai 1979, souligne que le mythe du vampire est avant tout un mythe féminin. Il n’est pas étonnant que les vampires femelles fassent ainsi partie des cas les plus intéressants à étudier. Les différents noms qui les désignent – stryge, goules, succubes – et les figures auxquelles elles sont liées – Lilith, furies aux ailes de chauves-souris, lamies – montrent qu’elles forment une catégorie à part, dont un des dénominateurs communs est le pouvoir.

Le Monde fantastique : lectures en famille sous la direction artistique de Léon Beauvallet. Illustré par Hadol, 1874

Les stryges (terme issu d’un mot grec signifiant « oiseau de nuit ») sont connues depuis l’Antiquité : ce sont des créatures féminines ailées qui, à la manière des rapaces, poussent des cris stridents.

Les stryges, souvent assimilées aux vampires, hantent les cimetières. Elles ont la particularité d’enlever les nouveau-nés, dont elles se rassasient du sang, et de dévorer la chair des cadavres. Comme pour les vampires, le seul moyen de les détruire est de les immoler vivantes par les flammes. Plus sournoises et retorses que ces derniers, les stryges savent se faire séductrices pour mieux manipuler les consciences et parvenir à leurs fins, possédant ainsi la même qualité légendaire que les « djinns », autres créatures surnaturelles prenant diverses formes, que Victor Hugo dépeint dans son poème « Les Djinns » comme une « hideuse armée de vampires et de dragons ».

L'Arantelle : roman d'art / George de Lys et André Ibels, 1908
Démons de la nuit, les stryges sont associées à des visions de cauchemar, dirigeant par exemple des chevaux au galop dans ce poème de Guy Valvor intitulé « Nocturne », paru dans Le Penseur de juillet 1905.

Charles Meryon, graveur français du 19e siècle, s’est emparé de cette figure fantastique. Sur la gravure suivante, la stryge, entourée de créatures ailées, surplombe Paris.

Le stryge ou le « diable de pierre », accompagné du distique initial
Le stryge : estampe (5e état) / C. Meryon del. sculp.

Allégorie de la gourmandise au Moyen Âge, la goule, souvent assimilée aux stryges dont elle serait la version arabe, signifie « large bouche » ou « goulée » (quantité d'air que l'on peut aspirer en une seule fois). Le latin gula, gueule, a rencontré l'arabe al-ghoûla, signifiant ogre, ce qui a enrichi le sémantisme du mot. La goule est une créature surnaturelle pernicieuse ayant une forme changeante, apparaissant tantôt sous une forme féminine volante, tantôt comme une hyène. Les pieds fourchus, comme ceux du Diable, sont néanmoins une caractéristique immuable, comme on peut le voir sur l’estampe ci-dessus du graveur Pierre Roche.


Les contes drolatiques colligez ez abbayes de Touraine et mis en lumière par le sieur de Balzac... Illustré par Gustave Doré. 1855 C’est dans le roman de Paul Féval La Vampire, paru en 1856, que l’on apprend que la goule est en réalité la femelle du vampire et qu’elle peut, au choix, être appelée également oupire ou succube. Comme le vampire, celle-ci fréquente les cimetières pour se nourrir de cadavres, acte de dévoration macabre qui lui procure une jouissance sexuelle, précise Jean-Paul Clébert, dans son Bestiaire fabuleux.

Paul Féval, La Vampire. E. Dentu, 1856
Dans cet extrait, la violence et l’horreur de leurs actes tiennent en une seule image, celle des crânes de jeunes filles scalpées qui gisent au fond d’un tombeau.

Baudelaire, dans ses Fleurs du Mal, transforme le vampire – une femme toujours – en une créature d’érotisme funèbre, insatiable, à la fois désirable et terrible. Rejoignant la créature invisible du Horla, la femme vampire de Baudelaire semble prendre possession de l’homme qui en devient, étrange paradoxe, esclave consentant.Les Fleurs du mal, de Charles Baudelaire ; ill. de A. Rassenfosse, 1899

Le personnage du vampire chez Baudelaire est subversif. D’ailleurs, rappelons que le poème intitulé « Les métamorphoses du vampire » de Baudelaire fit partie des six pièces condamnées par la censure lors du procès de 1857 pour « délit d’outrages à la morale publique et aux bonnes mœurs ».

Complément aux Fleurs du mal de Charles Baudelaire. Michel Lévy, 1869

Influencé peut-être par le songe d’Athalie de Racine, Baudelaire influença à son tour de nombreux artistes, en créant ce personnage de femme vampire qui mêle Eros et Thanatos sur fond de volupté sardonique : pensons à la nouvelle Forains de Jean Lorrain où l’horreur des morsures de l’animal se mêle à la volupté charnelle des caresses féminines ; ou encore à la scène de la baignoire du film Shining de Stanley Kubrick, sorti en 1980, où une femme aux « seins triomphants » se transforme en vieille femme « aux flancs gluants toute pleine de pus ».

Cette dichotomie entre attrait érotique et répulsion, fortement marquée chez la femme vampire, se retrouve dans d'autres œuvres du 7e art. On pense bien sûr au film intitulé La fille de Dracula, sorti en 1936. Pouvoir et beauté atteignent un paroxysme, grâce à ce personnage de « Minerve éblouissante le jour » et de « Gorgone déchainée la nuit ».

Une horrible découverte, vampire ou femme redoutée ?

En Pologne, le corps d’une femme maintenu allongé par une faucille entourant son cou a été découvert. Il s’agit d’un dispositif destiné à l’empêcher de revenir d’entre les morts pour s’en prendre aux vivants…
Dans le cimetière du village de Pien en Pologne, une équipe d’archéologues de l’université Nicolas Copernic a mis au jour le squelette d’une femme enterrée au 17e siècle de la plus étrange des façons, rapporte le Daily Mail.

Fixée de part et d’autre de son cou, la lame d’une faucille semble maintenir le corps en position allongée. Et c’est exactement le but de cet étrange dispositif : il s’agit de l’une des méthodes variées mises en oeuvre dans les pays slaves pour empêcher les morts de sortir de leur tombe.

«La faucille n’est pas posée à plat, mais placée sur le cou de sorte que si la défunte avait tenté de se lever, elle aurait sans-doute eu la tête tranchée ou la gorge profondément entamée» explique le professeur Dariusz Poliski, qui dirige l’équipe de chercheurs.Une technique dont le raffinement sadique, digne d’une nouvelle d’Edgar Poe, contraste avec d’autres mesures plus rudimentaires : «Les moyens de se protéger contre le retour des morts consistent à leur couper la tête ou les jambes, à placer le corps face contre terre pour qu’il morde le sol, à le brûler, ou à l’écraser à coups de lourdes pierres» énumère Dariusz Poliski.

Plusieurs autres corps enterrés avec une faucille ont été exhumés, des hommes et des femmes d’âges divers allant de 18 à 70 ans. Ils témoignent des mouvements de panique qui s’emparaient régulièrement de la population, par exemple pendant des périodes d’épidémie ou de disette, et se traduisaient par la recherche d’un bouc émissaire, tenu pour responsable des malheurs de la communauté. A moins que la mauvaise réputation d’un défunt n’ait suffi à faire craindre qu’il revienne d’entre les morts pour poursuivre ses méfaits. La dépouille découverte à Pien porte aussi, attaché à un orteil du pied gauche, un cadenas, objet symbolique censé clore la frontière entre la vie et la mort et empêcher tout retour en arrière.

Mais qui était cette femme dont les contemporains craignaient tant le retour ? Sans doute une personne d’un rang social élevé puisqu’une délicate cape de soie couvrait son crâne. Autre détail intrigant : une énorme incisive, deux fois plus longue que les autres dents, devait conférer à son visage un aspect très inhabituel. Est-ce cette particularité physique qui a convaincu les villageois qu’elle avait partie liée avec le Diable ? L’étude du corps qui sera menée à l’université Copernic permettra peut-être d’en apprendre plus sur sa vie, sa mort et son après-vie…

 

 

 

 






 

 

 


 














 




 

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
 
LE COMTE VLAD DAVUL VON  KROLOCK DA NOZFERATU  
 
est issu de plusieurs ancêtres et d' un charette à bras de Boldavie : 
 
1 La maison BOLDAVE DA NOZFERATU  
par son grand père VLAD LE CONTESTABLE  
 
2 Un nomade de la steppe SAALMECK : KURGAN , l' Empaleur du KEBABISTAN  
 
3 KARL VON ZOTRELAND , un chevalier du ZOTRELAND , n' ayant pas fait l' eschole du rire . 
 
4 Un Clan DAVUL PAIEN , anthropophage et consanguin mais par bonheur quasi éteint ! 
 
Il peut donc chanter avec YANNICK NOAH , je suis méééétisse !!! 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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BOLDAVIE VLAD DAVUL CONFINE - Copie (2)

 

BOLDAVIE VLAD DAVUL CONFINE - Copie

 

BOLDAVIE VLAD DAVUL CONFINE

 

Boldavie : Aucune victime du coronavirus sur les terre de VLAD DAVUL VON KROLOCK DA NOZFERATU ! Pourquoi ? Ben , tout le monde est déjà mort en 1477 à la bataille de TETRAZEPAM !

 

 

 

SLENDERMAN

 

Le salon du mal le retour 001 - Copie

 

Le salon du mal le retour 001 - Copie (2)

 

 

 

 



20/03/2020
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